Licences 2025-2026 : les évolutions
Pour l’inscription au club il faudra désormais donner une adresse mail a notre président pour les inscriptions ci joint la nouvelle réglementation de la fédération française de karate.
La nouvelle saison approche et avec elle, des évolutions importantes dans la gestion des licences via la base de données fédérale SIKADA. Afin de garantir une saisie fluide et conforme, nous vous invitons à prendre connaissance dès maintenant des deux changements majeurs mis en place à compter de la saison 2025-2026.
1. Adresse e-mail des licenciés : désormais obligatoire
À partir de cette saison, l’adresse email du licencié devient un champ obligatoire pour toute création ou renouvellement de licence.
L’adresse fournie devra être personnelle et unique : une même adresse ne pourra plus être utilisée pour plusieurs licenciés (par exemple, l’adresse email du club pour l’ensemble des pratiquants). Toutefois, une même adresse pourra être utilisée pour les membres d’une même famille.
Cette évolution s’inscrit dans une volonté d’améliorer l’expérience des licenciés en leur donnant un accès direct et personnalisé aux services fédéraux. Elle répond à plusieurs objectifs concrets :
- Permettre à chaque licencié d’accéder à son espace personnel sur Sikada, où il pourra consulter l’historique de ses licences, modifier ses informations personnelles, et télécharger ses attestations, diplômes ou autres documents. Sans adresse email, la création d’un mot de passe et l’accès à cet espace ne seront pas possibles.
- Faciliter les inscriptions individuelles aux événements fédéraux (stages, formations, examens de grades, etc.).
- Informer les licenciés, s’ils le souhaitent, des actualités de la Fédération.
- Offrir l’accès à l’application FFKarate e-licence, pour un usage simplifié et dématérialisé de la licence.
Une fois la licence validée et l’adresse renseignée, un email sera automatiquement envoyé au licencié pour lui permettre de donner son accord (ou non) à la réception d’informations de la part de la Fédération. Cette démarche contribue également à une meilleure gestion des données, à la prévention des doublons, et à la mise en conformité avec le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).